ISOTRONIC - la solution tout-en-un pour la pulvérisation de précision en viticulture
Aujourd’hui le viticulteur fait face à de nombreuses problématiques environnementales, économiques et sociétales. Afin d’améliorer la viticulture de demain, nous nous efforçons chaque jour de trouver des solutions pour vous permettre d’exercer votre métier dans les meilleurs conditions. La technologie ISOTRONIC est la solution complète et intégrée pour la coupure de tronçons, modulations de dose et la traçabilité pour la pulvériation de précision en viticulture.
Confort de conduit et débit de chantier
Précision d'application et protection de l'environnement
15% de produits économisés
Confort de conduit et débit de chantier
L’ISOTRONIC est un dispositif qui permet la coupure automatique de la pulvérisation dans les tournières ainsi le chauffeur peut se concentrer uniquement sur la conduite et les manœuvres : ->MOINS DE STRESSE -> MANŒUVRES PLUS RAPIDES pour un débit de chantier augmenter. Cet équipement permet la liaison entre le terminal Intelliview IV New-holland (pour les porteurs machines à vendanger ou enjambeurs de la marque) et la régulation EC-TRONIC afin de laisser la machine gérer la gestion des tronçons, la modulation de dose et la traçabilité.
Précision d'application et protection de l'environnement
La coupure automatique se fera en entrée et sortie de rang ainsi que la coupure des demi-rangs exterieurs en bordure de parcelle : PLUS DE PRODUIT PULVERISE EN DEHORS DE LA PARCELLE. A cela la coupure automatique de la pulvérisation en cas de recouvrement : LIMITE LES RISQUES DE SURDOSAGE.
15% de produits économisés
À la clé, des économies de produits loin d’être négligeables. Avec deux saisons d’expériences, Vincent Michel vigneron à viré-clessé (69) estime que la coupure de tronçons permet l’économie de 10 % de produit en bout de rang et 5 % dans les pointes et les largeurs incomplètes, soit 15 % au total. « Avant, on chargeait 11,5 hectares pour ne traiter que 10 hectares de vigne, relate-t-il. Aujourd’hui, on embarque et on traite la surface réellement plantée. Le résultat est sans appel. Malgré des années humides, il n’y a pas plus de maladie en extrémité de rang qu’en milieu de rang, même dans les pentes. »
Par la même occasion, le vigneron exploite mieux la capacité de la cuve du pulvérisateur, en réalisant plus de surface pour le même volume de bouillie. « Au lieu de 6 heures pour traiter la moitié de la surface de l’exploitation, on n’en fait plus que 5, estime-t-il. On termine plus tôt le matin, aux heures où la pulvérisation est la plus efficace, où l’hygrométrie est optimale. »
Cela signifie également moins de fatigue. « Je fais moins d’heures de pulvérisation et une partie de la conduite est désormais automatisée », se réjouit Vincent Michel.